De toutes façons, on n'aurait pas imaginé Balavoine finir sa vie en chaussons, devant la télé. Il était du genre exceptionnel à ne pas supporter la médiocrité, la demi-mesure. Comme Coluche, dont la fin fut aussi prématurée, il ne pouvait se contenter de "faire l'artiste" devant la misère qu'il rencontrait. Il mit sa notoriété au service d'une cause, et en mourut.